La vie va vous tester

Comme sous-titre, ça ne semble pas très sérieux, mais ça l’est plus qu’il n’y paraît. Ce que l’on entend par « la vie va vous tester » c’est qu’à plusieurs reprises, vous aurez envie d’abandonner. Vous aurez envie d’abandonner votre famille, cet enfant que vous avez adopté et de vous abandonner dans le regret. La société a certains préjugés sur l’absence de la parentalité biologique, car elle accorde beaucoup trop d’importances à l’instinct maternel ou paternel. Elle ne va cesser de vous poser des questions et de vous juger sur votre manière de faire. Votre cerveau lui-même sera mené à se poser des questions quant à vos capacités d’être parent.

La réalité va vous rattraper

L’Homme a deux facettes, soit il a peur du changement, soit il en a trop besoin. Le plus difficile est d’avancer vers le point de non-retour, car une fois que c’est fait, l’anxiété laisse place à l’impatience. C’est-à-dire qu’après la prise de décision, ça aura l’air magnifique et vous serez impatient de vivre l’aventure. Malheureusement, la réalité va vous rattraper. Vous ferez face à des crises d’hystérie de l’enfant, ses questions existentielles et pire… Que la famille biologique de votre enfant refasse surface et vous l’enlève. La dernière est la plus dure, car il n’existe rien de plus fort que les liens émotionnels à part les liens du sang.
Mais une chose est sûre, ne laissez pas de potentiels problèmes influencer votre bonheur. Adopter un enfant c’est avant tout partager de l’amour. À long ou court terme, c’est une merveilleuse expérience que peu de gens ont la force de faire.

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L’alimentation générale d’un cheval

Le cheval est un animal herbivore. S’il est dans la nature, il passe plus de la moitié de la journée à se nourrir de la prairie, des plantes et des végétaux tout en parcourant de longues distances. Mais comme son estomac peut seulement contenir 15 litres, il fractionne ses repas en petits morceaux. Les experts recommandent de ne pas donner des repas trop copieux à votre cheval.
Le mieux est de donner une alimentation continue avec de l’herbe ou du foin. Le gros intestin du cheval est le lieu de fermentation des fibres. Ce dernier est composé de petits organismes qui transforment les fibres celluloses en protéines, acide gras et vitamine. Un changement de régime peut alors engendrer des moisissures et des bactéries. Une alimentation trop riche augmente les risques de coliques.

Les types d’aliments d’un cheval

Les aliments de base d’un cheval sont le fourrage et l’herbe. Ces derniers sont riches en fibres et d’eau, nécessaires à l’organisme de votre cheval. Ils doivent être donnés en grand volume. Ils facilitent la digestion et augmentent la salivation.
En fonction de sa qualité, le fourrage offre un grand apport énergétique. Par ailleurs, sans cette alimentation de base, votre cheval ne peut pas occuper son temps.
Si vous avez du mal à trouver un fourrage, un cheval peut parfaitement se nourrir exclusivement de l’herbe. Cependant, il faut compter un hectare par cheval pour qu’il ait une bonne qualité nutritive. Attention cependant, pendant le printemps, il peut ingérer plus que nécessaire et peut se retrouver en surpoids.
Outre le fourrage et l’herbe, le foin est également une alimentation incontournable pour les chevaux. Il est même considéré comme la meilleure alimentation, car il est composé de graminées, de légumineuses et des plantes herbacées. Le foin est à donner en fonction du poids d’un cheval. Il faut 2 kg à 2,8 kg de foin pour 10 kilos.
L’eau est également cruciale dans l’alimentation d’un cheval. Il a besoin entre 20 à 40 litres par jour pour bien s’hydrater et pour bien ingérer la quantité d’aliments mangée au quotidien.

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Adopter un animal sauvage, ce qu’il en est aujourd’hui

Beaucoup cherchent alors des animaux moins connus en tant qu’animaux de compagnie mais qu’ils pourraient adopter. Et ils se tournent naturellement vers les animaux sauvages. Pourquoi pas ? Mais cela impliquerait des actions qui peuvent causer du tort à ces animaux. En effet, il faudrait les arracher de leur environnement naturel et les dresser, de manière à ce qu’ils s’adaptent à un nouvel environnement, urbain le plus souvent, ce qui est tout à fait à l’opposé de leur contexte habituel. Sait-on vraiment ce dont ils ont besoin pour vivre, leur nourriture, etc ? Vivent-ils mieux en groupe ou seuls, comment se reproduisent-ils et dans quelles conditions est-ce possible ? Autant de questions qui, souvent, n’ont pas de réponse.

Est-ce recommandé d’adopter un renard ?

Un renard né dans un monde sauvage n’est pas fait pour vivre dans une maison ou un appartement, c’est un fait indéniable. Le fait est que cela se fait aujourd’hui, mais avouons que ce n’est pas vraiment recommandé. On ne doit retirer un tel animal de son habitat naturel que dans le but de lui sauver la vie, car il est en grand danger, ayant perdu sa mère par exemple. Et même dans ce cas, il est plutôt conseillé de l’emmener dans un centre de récupération de la faune sauvage. Même si on raffole des animaux, voire si on en est passionné, on n’a pas forcément les connaissances essentielles pour maintenir en vie un renard, en prendre soin correctement et l’élever chez soi. Ce serait d’ailleurs ce qu’on appelle une adoption accidentelle qui ne se fait pas dans les règles. Quels sont les besoins spécifiques d’un renard ? Quelle éducation lui offrir ? Quelle est véritablement son alimentation favorite ?

L’adoption d’un renard

Comme dit plus haut, des renards se font adopter. On les trouve dans des fermes dédiées à l’élevage de renards qui sont ensuite destinés à devenir des animaux de compagnie. D’abord, il faut savoir que ces animaux sont très chers et en apprivoiser un n’est pas du tout facile, même si certains passionnés ont prouvé que c’est possible. Puis, il faut retenir le fait que le renard dégage une forte odeur qui peut rapidement indisposer les humains. De plus, les renards ne peuvent supporter d’autres animaux, la cohabitation avec un chien, des poules ou un quelconque autre animal est donc hautement complexe et ils sont par nature des prédateurs. Toutefois, il est à noter que les renards qui ont été domestiqués sont très intelligents, affectueux en plus d’être très beaux. Pour qui veut tout de même en adopter un, il faut au moins disposer d’un grand jardin, bien clôturé.

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Le cochon d’Inde

Un animal tendre et très affectueux, le cochon d’inde n’aime pas la solitude et préfère en groupe et dans un environnement chaleureux. Il aime être caressé et embrassé. Il convient alors parfaitement aux enfants quel que soient l’âge et le caractère. En revanche, son apprivoisement peut être difficile et demande d’ailleurs énormément de patience. Si votre enfant a plus de 4 ans, cet animal est parfait pour lui.

Le hamster

Un animal très actif, le hamster aime bien courir et escalader. Il a donc besoin d’un grand espace et ne doit pas être enfermé à la longue dans une cage. Il n’est cependant pas facile à apprivoiser. Etant donné qu’il vit la nuit, il faut éviter de le mettre dans la chambre de vos enfants. Contrairement au cochon d’Inde, ce rongeur chérit la solitude.

Le lapin nain

Intelligent, affectueux, sociable, le lapin nain est l’animal de compagnie parfait pour votre enfant. En plus de son caractère doux, il peut aider les enfants turbulents à s’apaiser. Il est idéal pour les enfants âgés de 4 ans et plus.

Le poisson

Le poisson est l’animal le plus facile à entreprendre. Il suffit de changer son eau et de le faire manger tous les jours. Mais le bonus si vous choisissez le poisson comme animal de compagnie, il donne une petite touche de décoration à la chambre de votre enfant. A noter que cet animal doit vivre en groupe pour lui garantir une longue durée de vie.

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Une maison à l’extérieur

La poule a beau être un animal de compagnie, il lui faut un espace clôturé qui lui soit propre à l’extérieur de la maison. Cela vous évitera de passer toujours derrière elle pour nettoyer. Il en va de la bonne tenue de votre intérieur.
La taille du poulailler dépend bien évidemment du nombre de poules que vous souhaitez avoir. S’il ne s’agit que d’un compagnon pour votre enfant, une seule sera amplement suffisant. Ce qui rendra aussi plus facile la mise en place du poulailler. Vous pouvez facilement trouver des tutoriels sur internet pour voir comme s’effectue sa construction.

Une nourriture quotidienne

Comme bon nombre des animaux de compagnie, les poules doivent manger une nourriture spécifique au quotidien et beaucoup boire. Outre les packs de graines de marque que vous pouvez acheter en ligne, un certain nombre d’accessoires sont à pourvoir. On parle notamment de la mangeoire à oiseaux. Il s’agit d’un article en plastique avec plusieurs petites cages qui peut servir à la fois pour boire et pour manger. Il vous suffit de verser la nourriture de votre poule à l’intérieur une fois par jour. Elle saura comment la dispatcher pour toute la journée.

Un abonnement chez le véto

Bien évidemment, le fait d’adopter une poule ne vous dispensera pas d’un abonnement chez le vétérinaire. Ce genre d’animal de compagnie, comme tous les autres, a besoin de vaccin et de soin. Il existe une large panoplie de maladie à laquelle elle s’expose.
Aujourd’hui, on parle beaucoup d’une possibilité de couverture santé pour les animaux de compagnie auprès des assureurs de toute sorte. Les conditions sont disponibles en ligne. Et la souscription se fait rapidement. Ce peut être une bonne idée d’étudier la question ne serait-ce que pour réduire les charges afférentes à l’adoption d’un animal de compagnie chez soi.

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Origines du dalmatien

Le dalmatien est fait pour être un chien de famille ou un chien de compagnie, mais peut être également dressé pour différentes activités. Le dalmatien existe depuis quelques millénaires. Pour preuve, l’on trouve des dessins qui le représentent sur les tombes de pharaons de l’Egypte ancienne pendant le Moyen Âge. Son origine reste toutefois sujette à discussion. Certains affirment que le dalmatien vient de Dalmatie, dans la République de Croatie, et d’autres disent qu’il est originaire du bassin méditerranéen oriental, dans la région de la côte dalmate, au début du 18ème siècle. Les dalmatiens ont connu un grand succès à travers le monde. Outre leur attachement aux humains, ils ont figuré dans de nombreuses œuvres. Mis à part le fameux dessin animé « les 101 dalmatiens », cette race canine figure sur de nombreuses représentations comme sur une fresque au couvent de Zaostrog de l’an 1710, un ouvrage de Thomas Bewick publié en 1792 et plusieurs tableaux de peintres italiens du 16ème siècle. L’Anglais Vero Shaw rédige le premier « standard du Dalmatien » en 1882, un ouvrage rendu officiel en 1890.

Mode de vie du dalmatien

Le dalmatien peut facilement vivre en appartement ou en maison, à condition de sortir plusieurs fois par jour. Il peut vivre avec n’importe quelle famille avec ou sans enfants, même avec les personnes âgées. Il peut être adopté comme chien de compagnie, chien de garde ou encore chien pour personnes handicapées. En outre, le dalmatien peut être utilisé comme chien d’alarme pour garder votre maison ou vos locaux. Il peut également aider les personnes malvoyantes ou malentendantes dans la vie quotidienne, à condition de suivre une éducation spécialisée. Si vous voulez adopter cette race de chien, vous devez en savoir plus sur le dalmatien, notamment sur son régime alimentaire, sa santé, etc.

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Une astuce qui marche !

Plusieurs témoignages en sont la preuve. Adopter un chien est une astuce qui fonctionne pour s’inciter à faire du sport, notamment si votre animal de compagnie est un chien sportif. Ce dernier aura besoin d’une séance de training par jour pour se développer correctement.
Et même avec un chien classique, vous n’avez d’autres choix que de vous y mettre. Votre ami à quatre pattes aura besoin d’être baladé, de jouer et de se dépenser physiquement, et ce, quotidiennement. Et pour sa sécurité, vous devriez les accompagner. Vous aurez l’impression de faire du sport sans en faire.

Un compagnon d’armes

Dans la majorité des cas, si les personnes abandonnent leurs séances d’entrainement c’est qu’ils se sentent décourager de se lancer dans l’aventure seule. Et même avec un ami, cela ne fonctionne pas. Quand l’un n’a pas envie d’y aller, on est aussi tenté de sécher les séances.
Mais le chien est un compagnon d’armes différent. Non seulement il est toujours joyeux, ce qui donne du courage. Mais il est toujours partant pour un peu de jogging avec son maître. C’est d’ailleurs bien souvent lui qui vous rappelle que c’est l’heure de partir.
Votre affection pour lui sera aussi un bon carburant pour continuer à travailler. Même si vous n’avez pas envie, pour son bien-être, vous le faites quand même. Dit autrement, le chien est bien meilleur coach que les professionnels qui se déplacent à domicile. Et l’avantage c’est que vous n’aurez pas à le payer pour ce faire. Quelques croquettes feront amplement l’affaire et vous aurez non seulement un ami pour le sport, mais un compagnon fidèle pour la vie.

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Se référer à son train de vie

Le premier paramètre à prendre en compte pour bien choisir son rongeur, c’est son train de vie même : est-ce qu’on est souvent absent, etc. En effet, certains rongeurs nécessitent « plus d’attention » et donc de temps que d’autres. Le cochon d’Inde ou encore le lapin, par exemple, doivent être sortis régulièrement de leur cage, et donc à surveiller, puisqu’il leur faut se dégourdir, au risque d’affecter leur épanouissement. La gerbille, quant à elle, adore creuser des terriers dans l’argile et la couche de coupeaux de sa cage. Il faut alors nettoyer régulièrement les alentours de celle-ci.

Les autres paramètres / précautions

Comme les poissons ont besoin d’aquarium, les rongeurs nécessitent une cage. Il faut alors se pencher sur la « grandeur de la place » qui pourraient leur être destinée. Ceux qui ont besoin d’une cage assez grande pour pouvoir s’épanouir par exemple, sont notamment l’octodon, l’écureuil de Corée, le lapin, le cochon d’Inde, mais également le chinchilla.
Par ailleurs, en présence d’enfants, certains rongeurs ne sont pas conseillés. L’écureuil de Corée, par exemple, est un rongeur craintif, et risque de « s’affoler » avec les cris et les agitations des marmots. Le hamster, quant à lui, n’hésite pas à mordre, et n’est donc pas de « bonne compagnie » pour ces derniers. Le mieux, c’est alors d’opter pour un rongeur tel que la souris rayée, toute mignonne, qui s’apprivoise plus facilement, et en plus diurne.

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